On vous explique tout sur LE festival du design français !
Chaque année au mois de septembre, France Design Week fédère le monde du design français lors d’un événement international, annuel et global : c’est LE festival du design français!
Son objectif est de promouvoir le design et les expertises de ses designers auprès des professionnels et de sensibiliser le grand public à sa pratique, en mettant à l’honneur tous les champs du design pendant trois semaines en septembre dans les 13 régions françaises.
Grenoble est représenté pour la 3e année consécutive avec une action phare, LA NUIT DU DESIGN, action qui se déroule dans les locaux attenants à la CCI de Grenoble : Le centre des congrès du WTC à 100 mètres de la Gare de Grenoble :
Une action portée par un Tiers Lieu Grenoblois : GrenobLE LAB un Social Lab axé sur la transition environnementale et l’économie locale qui porte depuis 3 ans l’antenne de Designers+ sur l’Isère avec une même conviction : Le designer est un acteur central de la transition environnementale et on vous dit pourquoi dans la newsletter dédié à cette soirée et publiée toutes les semaines sur le réseau social Linkedin –
Organisée par GrenobLE LAB et Designers+, la Nuit du design se tiendra le 14 septembre au WTC Grenoble.
Le thème de cette seconde édition : « Le design, levier des performances de l’entreprise ».
« Le lien entre design et performances n’est pas évident à première vue, explique Philippe Fracchiolla, l‘un des organisateurs de l’événement. Et pourtant, nous sommes convaincus que le design peut être un élément fort de performance dans une acception large, en l’associant à la performance économique, sociale et environnementale. » Pour Fabienne Warin, coprésidente de GrenobLE LAB, « la plupart des dirigeants d’entreprises ont conscience de la responsabilité qui leur revient pour répondre aux enjeux environnementaux, sociaux, économiques et éthiques.(Lire la suite …)
A la surface d’une toile blanche apparaissent comme un mirage, les contours d’un corps ou d’une montagne se détachant avec force et volonté.
Derrière la représentation il y a le geste. Hélène Stevenin le laisse s’emparer du support, convoquant la mémoire d’une enfance bousculée entre voyages lointains et solitude. Enfant qui regarde, observe son entourage, nature des lieux et des hommes.
C’est avec la mémoire des odeurs, des couleurs qu’elle tracera le souvenir, puis le gravera avec la même intention: laisser s’exprimer le retenu, l’enfoui, qu’il jaillisse ainsi et recouvre la surface entière.
Pas de demi mesure, pas de demi teinte, pas de compromis… l’étalement d’un corps,
la violence d’un paysage, la torsion d’un arbre : que la vie s’exprime à vif. La technique est moyen, outil maitrisé au service de l’expression picturale. Que dit-elle ? une Sardaigne en noir et blanc, contrastée, inattendue. Des corps sensuels affirmés dans leur plénitude mais néanmoins anonymes et flous, des montagnes qui s’élèvent dans un ciel très pâle, voire incolore. C’est un contraste puissant : ces noirs charbonneux et le blanc pur, le sillon profond et le trait de craie affleurant la feuille. Peu de couleurs, des rouges sombres, quelques verts incertains, des taches de bleus éparses..
Si l’on devait résumer ce que l’on voit alors surgissent les mots : puissance, violence, intensité, mouvements, gestes larges, … mais aussi présence intense du vide, de l’espace, de l’illimité.
A la fin du parcours comme pour mettre à distance l’inquiétude, voici l’apaisement d’un paysage du sud, la douceur d’une colline, la volupté d’un corps. Réel et réalité, imaginaire et imagination; peindre et graver pour faire traces.
Texte de Pascale Mayou
Ouverture de l’exposition : Jeudi 1er Juin à 16h30 / Vernissage à partir de 18h30
16 rue Abbé de La Salle 38000 Grenoble – Galerie du rez de chaussée
Merci à @Pascale Mayou pour ces mots sur leurs oeuvres de son amie Hélène
Jeudi 1er juin sera le dernier soir pour voir ou revoir cette exposition si particulière
A travers des photos très personnelles, partagées par l’artiste, celle-ci nous interroge sur ce que nous souhaitons transmettre à nos enfants et quelle empreinte laisserons nous à l’ère du digital ?
Une soirée pour échanger, repenser et agir modestement en prenant un temps pour trier ces mémoires saturées. Une façon de s’alléger, de reconsidérer la photographie et d’allier l’art à la sobriété .
Un temps également pour mieux connaître encore, cette artiste grenobloise aux multiples talents qui aime avant tout partager son travail, reproduire nos histoires en petits ou grands formats. Une artiste qui croit en la capacité régénératrice de l’entreprise, en l’humain et sa capacité à repenser un monde ou l’élégance et la bienveillance retrouveraient toute leurs places.
Un monde tel que nous le souhaitons pour nos enfants…
Retour en image sur l’exposition
A travers cette exposition, Audrey Laurent nous expose un véritable héritage personnel en (re)photographiant des photos de famille donnant vie à de nouvelles scènes.
A partir de 18h au 16 rue Abbé de La Salle à Grenoble – 1er étage – accès possible par le rez de chaussée
Le studio MoA&G c’est le résultat du mélange complexe de 2 cerveaux : Un est spécialisé dans le monde du design produit et de la réflexion sur l’usage, l’autre est spécialisé en ingénierie et mise en fabrication.
Ensemble ils ont pensé et crée la collection « Chute » . Une ligne de chaises pour enfants, parents et tout autre accompagnant désirant se mettre au vrai niveau de l’enfant, et ce, quelque soit sa corpulence, son âge ou son besoin d’élégance.
Une première présentation dans un Tiers lieu du centre ville – GrenobLE LAB – sous les objectifs de Benjamin pour Beaux Quartiers et Nathalie Ruffier – en présence de nombreux amis, partenaires et décorateurs d’intérieur.
